Passériformes Sturnidés
L'Etourneau Sansonnet. [Sturnus vulgaris -Passériformes Sturnidés -] (Common Straling)
16 mars 2013 mars
17 février 2013 février
Encore en habit d'hiver tout moucheté, de loin il semble
noir
mais de plus près il est bien joli au soleil quand son
plumage s'illumine de reflets irisés.
29 mars 2012
20 mars 2012 Printemps
Ils sont toujours dans le parages.
4 mars 2012
Un des rares passages d'étourneaux de cette
année.
D'habitude ils sont nombreux, en grandes bandes pendant l'hiver, passant le soir en rangs serrés. Pas cette année. Les dortoirs ont du changer. Quelques poignées seulement passent ces derniers jours, dont celui-ci, qui fatigué, a fait une courte pose (juste derrière les branches!).
19 janvier 2011
Communs, bruyants, un brin envahisssants les Etourneaux, mais je leur trouve de l'allure, en hiver, avec leur costume pointillé.
4 janvier 2011
Comme
tous les ans, depuis plusieurs mois, les grandes bandes
d'étourneaux en route pour les dortoirs, passent
en fin
d'après-midi. Par vagues successives, ils volent de concert,
faisant parfois une petite pose sur la terrasse.
Ils se posent un instant et se secouent immédiatement violemment, ouvrent les ailes, se touillent, s'apprêtent les plumes, se lissent les ailes. On dirait qu'après un long vol, le plus urgent est de remetttre toutes ses plumes en place correctement.
Le tout dans un impressionnant et soyeux bruit de
plumes.
10 mars 2010
Eux sont là comme tous les ans. Ils viennent se mettre
à l'abri chaque soir.
Tous les soirs (vers 18h30 en ce moment) depuis plusieurs semaines, ils arrivent par milliers. Ils se posent par vagues successives sur les terrasses avoisinantes, ou sur les grues les plus hautes lorsque le vent n'est pas trop violent, sinon ils préfèrent s'installer plus bas. Les étourneaux font une pause par chez moi, avant de continuer leur chemin vers les dortoirs (comme la BNF). Le bruit est assourdissant, à qui criera le plus fort.
(Un petit coup d'œil au fond sur le rocher du zoo de Vincennes).
17 février 2010
Plumes, plumes, plumes...
10 février 2009
11 novembre 2008
Hier, gris, pluvieux, venteux... Nuit de tempête. Ce matin le calme est revenu.
Brun noirâtre, vu de loin, il apparaît, de plus près, joliment tout piqueté de petites taches blanches sur le ventre et orangées sur le dos. Ces taches sont plus nombreuses et plus grandes à l'automne et son bec est devenu noir.
Ce n'est pas un solitaire! Son délice est d'être dans la foule. Son exubérance s'entend alors de loin, les bavards donnent tout leur répertoire, mélange souvent étrange de cris, de chants et de multiples imitations, même métalliques.
Ils sont très nombreux en ce moment. Des groupes compacts volent de terrasse en terrasse. D'habitude ils se regroupent en fin de journée, mais hier (à cause de l'arrivée de la dépression?) de grandes bandes passaient en continu, toute la journée.
L'étourneau sansonnet - Sturnus vulgaris -
Celui-ci m'a intrigué. Il a passé
longtemps seul sur la terrasse.
Il ramenait dans son bec des grains ronds, ce que je pense être des baies, quelques "mâchouilles" du bec puis rejetant la tête un peu en arrière, il les ravalait.
Avait-il fait sa réserve de baies de la vigne, où j'ai vu toute une troupe l'autre jour, accrochée en pleine cueillette et dégustait-il tranquillement, loin des copains, celles qu'il avait récoltées?
5 septembre 2008
Le retour des étourneaux.
Depuis plusieurs jours les étourneaux passent en bande en fin d'après-midi.
La troupe bruyante se pose quelques instants sur les terrasses. On avale rapidement les quelques graines que l'on peut trouver, puis à un signal mystérieux quelques étourneaux s'envolent et tout le groupe suit .
Nous les voyons bien tôt cette année.9 janvier 2008
A l'heure où la nuit tombe, un peu avant que notre mésange nocturne vienne prendre son souper, de grands vols d'étourneaux passent, venant du sud et volent tous dans la même direction. Ils volent à la hauteur des immeubles en vol continu juste à hauteur de nos fenêtres, certains jours pendant une vingtaine de minutes. Parfois ils effectuent une petite pose sur les antennes.
Je m'étais déjà interrogé s'ils allaient vers leur dortoir du jardin clos arboré et bien abrité en contrebas de la BNF (Bibliothèque Nationale de France) proche, qu'ils avaient investi les hivers précédents.
Le vendredi 4 nous faisons une petite balade du côté de la BNF. Il est 16h15, seuls quelques ramiers et une mésange sont dans les pins. Nous continuons vers le parc de Bercy, côté plans d'eau, domaine du héron qui nous trouvons impassible sur son pavillon. De petits groupes bruyants arrivent et se posent dans les grands arbres. Les groupes sont de plus en plus importants. Ils se regroupent en vol, tournent et tout le monde se pose dans le même arbre! On discute et on s'entraîne pour le concert. Puis d'un seul coup silence complet, on a basculé un interrupteur, ils se taisent tous, mais vraiment tous. Quelques secondes de silence vraiment complet, étrange, et d'un seul coup toute la troupe s'envole dans un froissement d'ailes pour atterrir sur l'arbre d'à côté et le bruit reprend brutalement. Une corneille bossue et bruyante les accompagne d'arbre en arbre avant de se lasser et de quitter la place. Les étourneaux se regroupent ici en pré dortoir avant de partir vers les dortoirs. Trop tard pour nous ce soir pour les accompagner.
8 janvier nous sommes à la BNF. De loin nous voyons
le sommet
des grands arbres de Bercy et les nuages d'étourneaux
s'envolant
et se posant. Gla-gla! Il y a un petit vent peu sympathique
qui
passe entre les tours de la BNF, il fait très gris et bien
sombre. Mais récompense, ils sont bien
là, arrivent
en grands groupes et envahissent le jardin. Ce mardi
il fait trop gris pour la photo.
9 janvier: nous revoilà à la BNF.
Il a fait gris la journée mais ce soir le rideau des nuages s'est écarté sur un beau coucher de soleil.
D'autres arrivent. Ils forment plusieurs groupes qui tournent autour des tours en se suivant, puis qui se regroupent et se séparent de nouveau. Parfois la masse éclate en plusieurs petits groupes qui suivent leur petite idée personnelle du chemin à suivre, et qui tournent les uns autour des autres, puis qui retrouvent les copains et continuent leur vol. La masse devient compacte et est mouvante comme un banc de poissons (au fait qui copie sur l'autre?). Ils volent haut, tout en haut des tours. A un moment ils disparaissent derrière une tour. Nous attendons de les retrouver, mais disparus, plus d'étourneaux, ils sont allés tourner très loin. Le temps d'apprécier le splendide ciel et les revoilà. Le groupe est encore plus compact et d'autres arrivent toujours et les rejoignent.
Le groupe de plus en plus gros tourne d'une tour à l'autre
au-dessus du
jardin sur toute sa longueur. Ils sont toujours en altitude.
Puis progressivement, on ne s'en rend pas compte
immédiatement, à chaque passage ils descendent un
peu. Il est 17h
21.
Ils descendent comme un lourd ruban, un peu plus bas
à chaque passage. Un dernier passage et la
tête de
la troupe plonge dans le jardin. En un instant tout le groupe suit et
s'installe à grand renfort de criailleries et bousculades.
C'est alors que venant de la direction du parc de Bercy un
énorme nuage arrive, impressionnant, les premiers atteignent
l'esplanade et un long ruban dont on ne voit pas la fin, suit. Cette
fois pas d'hésitations, pas de tour d'exploration, pas de
douce
descente, une arrivée en piqué, direct dans le
jardin, ils
s'abattent dans les branches. On attendrait presque le plouf!
Ils
plongent. Il doit y avoir des protestations et des pattes
écrasées à l'étage en
dessous pour ceux
déjà arrivés! Le bruit est
assourdissant. Nous ne
comprenons pas l'étourneau, c'est peut-être mieux
ainsi. Quelques ramiers les accompagnent et plongent en même
temps qu'eux.
Ce n'est pas fini. D'autres énormes groupes arrivent de la même direction et plongent à leur tour. Il est 17h24.
Je ne saurais vous dire combien il y en a. Probablement des milliers.
Puis tout se calme... dans les airs. Il n'y a plus d'arrivées sauf quelques retardataires, chacun cherche sa place, s'installe, pousse les voisins. L'espace est petit, ils cherchent à s'installer au profond de la végétation. Ils ne sont pas faciles à voir, on les distingue un peu ici, entassés. Les quelques pigeons ramiers présents pestent, s'envolent, cherchent une petite place.
En hiver 2006 ils ont été dissuadés de rester à la BNF par l'intervention de fauconniers avec l'aimable participation de Buses de Harris. Le guano est un bon engrais mais trop, c'est trop! Les arbres n'appréciaient pas vraiment.
On ressent une petite pointe d'inquiétude lorsque les grands vols vous survolent, mais curieusement autour du jardin, on constate peu de crottes. On en entend tomber quelques-unes (et une pour moi bien sûr! bon, c'est dans le respect d'une tradition...).
Si vous voulez assister à ce somptueux spectacle il faut venir vers 17h15 en ce moment au coucher du soleil.
8 novembre 2007
Des antennes bien occupées.
Il est 17h, la nuit tombe. Les étourneaux font une petite pose avant de continuer vers les dortoirs. Plus de grue proche de mon bâtiment, comme l'année dernière, alors on se rassemble sur l'endroit le plus haut du coin. Ils sont bruyants, très bruyants, çà discute ferme dans la troupe.
Chacun a sa place, respect des autres, ils maintiennent une
même distance par rapport aux copains du haut et du bas.
16 février 2006
Cette boule hirsute... un étourneau, posé quelques instants seulement à côté du nichoir, heureusement, sinon, il aurait fait la connaissance de nos petites bleues.